ma traduction d'un poème en italien de QueenOfArgyll, publié sur son blog
On grandit trop vite. On finit pas se rabougrir le cœur sans même s'en rendre compte et par oublier le pouls qui bat au bout des doigts quand on se tient par la main quand on grimpe sur les clôtures des maisons en ruine et qu'on pose une libellule sur son doigt.
Illustration de l'autrice